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Entre les ombres
Entre les ombres reflète un été trop chaud que l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres, aux heures tardives. Le sable entre les mains, le bleu aussi. Une lumière, une poussière que l'on retient. Ici le sable glisse et se cristallise. Les corps courbent, rident dans l'eau opaque. Le temps semble figé dans ses instants fragiles et éphémères qui nous traversent et nous habitent.
Été 2020
Série de 11 photographies
D’après négatifs 6x6 numérisés
Dimensions variables
Animal (en cours)
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
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Charlotte Audoynaud est une artiste française née en 1986 à Limoges. Diplômée de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon en 2016, elle développe une pratique pluridisciplinaire dans la laquelle se mêlent photographie, écriture, vidéo et son.
Entre autobiographie et fiction, dans un registre poétique et sensible, son travail investit la notion de territoire intime, les liens qui s’y façonnent, les manques qui s’y jouent, les disparitions qui l’habitent. Attentive à l’impermanence des corps et à leurs relations à l’environnement, elle met en scène ses proches dans une nature englobante. Ses séries, longtemps pensées comme de micro-territoires issus d’un temps et d’un espace éprouvé et parcouru, tendent aujourd’hui à en brouiller les frontières.
En septembre, sa série Les lucioles est présentée lors d'une soirée de projection au Centre d'art et de photographie de Lectoure. En 2022, elle expose sa série J'irai creuser la mer, à la Galerie VU’ à Paris, dans le cadre de l'exposition collective du Mentorat Photographique du Fonds Regnier pour la création avec l’Agence VU’ et reçoit le Prix PixTrakk lors des lectures de portfolios des Photaumnales à Amiens. En 2021, elle expose son travail à la Galerie Lumière d’Encre à Céret ainsi qu'au festival le Vent en Poulpe à Saint-Malo. En 2020, sa série L’être instable est publiée dans la rubrique Coups de coeur du magazine Fisheye.
Son travail en duo avec l’artiste plasticienne Ludivine Zambon et en collaboration avec le compositeur Pierre Joseff, a fait l’objet de plusieurs présentations publiques, notamment lors de l’exposition collective Nouvelle vague, dernière vague (2018), en résonance à la Biennale d’art contemporain de Lyon (installation vidéo Le jardin des Argonautes, 2017), ou encore lors de l’événement Première étoile, dernier flocon à la Villa du Parc d'Annemasse (2017).
Par ailleurs, Charlotte Audoynaud collabore avec ses frères dans le cadre du projet musical Gelatine Turner, elle réalise les photographies et vidéos.
En
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