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Entre les ombres
Entre les ombres reflète un été trop chaud que l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres, aux heures tardives. Le sable entre les mains, le bleu aussi. Une lumière, une poussière que l'on retient. Ici le sable glisse et se cristallise. Les corps courbent, rident dans l'eau opaque. Le temps semble figé dans ses instants fragiles et éphémères qui nous traversent et nous habitent.
Été 2020
Série de 11 photographies
D’après négatifs 6x6 numérisés
Dimensions variables
Animal (en cours)
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
Entre les ombres
Entre les ombres est un projet en cours. Il reflète un été trop chaud quel l’on vit dans l’obscurité. Une sécheresse, une chaleur que l’on fuit entre les ombres.
été 2020
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L'être instable
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Construite pendant la première période de confinement, la série L’être instable est née d’une relation de promiscuité extrême presque étouffante, entre les êtres. Liée à un besoin profond de nature, elle s’échafaude d’éléments naturels trouvés au cours de nos excursions urbaines.
La plage, la cabane, leurs offrent un bref sentiment de liberté, une respiration. La vie reprend sa place, doucement.
printemps 2020
Nous sommes des êtres impermanents, qui vivons dans un monde qui change constamment. Le temps nous emprisonne et nous entraîne vers une finalité inévitable. Le changement est une notion angoissante de notre vie au point que nous ne pensons plus au temps présent, mais au futur incertain. Les enfants regardent les choses autour d’eux, ils observent le mouvement de la vie et s’émerveillent. Ils comprennent que nous ne sommes pas séparés de la nature, du monde extérieur qui nous entoure. Ils embrassent les choses simples, s’immergent dans le vrai temps, le présent. Les petits êtres voient les choses de manière claire et distincte, ils acceptent l’impermanence des choses.
Mathilde Audoynaud
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